Après la brèche ouverte dans les médias français, lesquels contribuent clairement à une politique que les anglo saxons connaissent bien sous le nom de "damage control", le ridicule corpus de la version officielle se met à chanceler aux Etats Unis, jusqu'au Congrès, et, maintenant, au royaume uni.
En voici l'illustration avec cette annonce parue dans le plus sérieux quotidien britannique, à lire ICI. Mieux encore, le débat semble devoir s'ouvrir jusque dans la chambre des communes, ainsi qu'aux cours de réunions plus privées ou plus officieuses, mais impliquant les plus hauts responsables politiques, ainsi que le rapporte le site Reinvestigate911.org.
Que dire du reste du monde, qui n'a jamais cru, dans sa majorité, à la version officielle? Que dire encore des sondages selon lesquels plus de la moitié des américains pensent que leur propre gouvernement dissimule des information clés à propos des attentats. La seule évidence, c'est que la version officielle est un mensonge grossier. Au delà de ce constat, il est tout aussi clair que les "complotistes" comme les partisans de la version officielle peuvent avoir intérêt personnel à défendre telle ou telle analyse, ce qui complique singulièrement la progression de la recherche des faits. Tâchons de ne pas nous en détourner.
Le site infowars.com apporte une nouvelle pierre à la critique de la version officielle, en publiant une précieuse contribution de David Ray Griffin, qui resume, preuves à l'appui, les raisons pour lesquelles il est impossible de relier les attentats à Ossama Ben Laden. Quand on pense qu'aujourd'hui encore, en France, ce sont les complotistes dont on se moque, alors que rien n'est plus grotesque, sur un plan strictement factuel, que la version officielle...
Allez, gageons, que les petits Torquemada de la bien pensance, à l'image de Géraldine Muhlmann, dont on constate rapidement qu'ils n'ont jamais pris la peine d'étudier en détail les arguments des complotistes, sauront faire preuve d'autant d'imagination que de mauvaise foi dans quelques années pour justifier l'aveuglement dont ils nous auront gratifiés entre le jour du drame du 11 septembre et l'émergence de la vérité.
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