Le thème de la vaccination est exemplaire de la problématique moderne de la réception par le grand public de l'information à caractère scientifique. Plus un sujet est technique ou pointu, plus les citoyens ont tendance à s'en remettre aux experts, au point que l'idée de se faire leur propre idée sur une question scientifique leur est bien souvent totalement étrangère.
Cette situation est grave pour plusieurs raisons:
- d'abord, parce que même en science, l'objectivité n'est qu'un but, et les données acquises de la science, y compris dans ses fondements mêmes, sont très fluctuantes. La vérité est une quête, et un scientifique qui prétendrait la détenir serait rien moins qu'un imposteur.
- ensuite, parce que l'information scientifique est tout sauf désintéressée. Des enjeux financiers colossaux sont tributaires des données acquises de la science, qui, pour cette raison, font l'objet de querelles de pouvoir et de luttes incessantes, auxquelles la presse spécialisée et a fortiori la presse généraliste ne fait que trop rarement écho. L'interprétation à laquelle sont sujets les résultats des essais et études cliniques en est une parfaite illustration, tant elle peut conduire à leur faire dire tout et son contraire. L'homéopathie, l'effet placébo, ou encore les effets des ondes électromagnétiques sur la santé humaine donnent ainsi lieu à d'infinies controverses, chaque camp aboutissant à des conclusions inverses en se basant sur les mêmes résultats d'études.
- enfin, parce que la communauté scientifique elle-même, faute de temps, par habitude et par naïveté, est dans la même situation vis-à-vis de l'information scientifique qu'un citoyen ordinaire. Elle s'appuie sur l'état actuel des connaissances, sans nécessairement se demander si les informations qu'elle reçoit sont ou non sujettes à caution. Or, rien ne garantit que ces connaissances soient correctement ou complètement restituées à la communauté scientifique, ni qu'elles soient exactes.
Le cas des vaccins illustre à la perfection la dérive de l'information scientifique et révèle un problème structurel: la mainmise de l'industrie pharmaceutique sur la formation et l'information médicale.
Ainsi est-il communément admis par les médecins comme par une immense majorité de la population mondiale que les vaccins constituent l'une des plus brillantes réussites de la médecine et de la pharmacologie modernes. Les vaccins auraient sauvé des centaines de milliers de vie en endiguant ou en prévenant de graves épidémies. De manière générale, les vaccins sont de surcroît considérés comme inoffensifs, et leurs effets secondaires rares. Il est d'ailleurs frappant de constater que les vaccins sont devenus si banals et le recours à la vaccination si automatique que le langage courant en porte la trace à travers l'expression majeur et vacciné, qui sous entend que l'acte vaccinal va de soi pour tout adulte responsable.
Quelques heures d'investigation sérieuse suffisent pourtant à faire s'écrouler tout l'édifice des idées majoritairement acceptées sur les vaccins. La réalité peut se résumer en deux propositions:
1- l'étude des données épidémiologiques disponibles depuis l'introduction des vaccins ne permet pas d'établir un lien de causalité entre l'endiguement des épidémies et la vaccination d'une population qu'elles menacent. Dans certains cas, au contraire, la vaccination coïncide avec le début d'une épidémie contre laquelle le vaccin est censé protéger, ou avec son aggravation, épidémie touchant, dans certains cas, des individus vaccinés.
2- malgré l'absence (d'ailleurs surprenante) d'un signalement systématique des effets indésirables des vaccins aux autorités sanitaires, il est admis par les laboratoires pharmaceutiques eux-mêmes que les effets secondaires plus ou moins graves liés à la vaccination sont multiples. Parmi ces effets, certains sont mortels, d'autres très invalidants comme le syndrôme de Guilain Barré, et d'autres se manifestent à plus long terme de façon catastrophique en affaiblissant l'immunité générale de l'individu, ouvrant la voie à certaines maladies dites émergentes telles que les allergies ou les maladies auto-immunes, inconnues avant les vaccins. Certains vaccins sont aussi suspectés de favoriser des maladies graves comme la maladie d'Alzheimer et même le cancer. Mais cette suspicion n'est rien à côté des travaux prouvant le caractère cancérigène des virus soi-disant inactivés utilisés dans un grand nombre de vaccins courants.
S'agissant du du vaccin contre la grippe porcine, l'expert en santé publique et en pathologies respiratoires Wolfgang Wodarg a exprimé de très sérieuses craintes, rapportées ICI. Le Gardasil est également mis en cause à cet égard, à mesure que se déploient ses effets délétères (lire ICI). Pour des articles plus synthétiques sur la question du lien entre cancer et vaccination, cliquer ICI ou encore ICI.
Pour la raison structurelle indiquée plus haut, la fréquence et la gravité des effets secondaires des vaccins sont extrêmement sous évaluées. La plupart des médecins ne suspectent même pas leur impact et ne recherchent donc jamais à relier un symptôme quelconque à la vaccination, contribuant par leur ignorance ou leur naïveté à la bonne réputation des vaccins.
Une chose est sûre cependant: tous les professionnels de santé qui ont pris le temps de questionner les idées reçues sur la vaccination ont émis des doutes très sérieux sur son efficacité et son innocuité, ce qui suggère que les bienfaits comme l'absence d'effets secondaires des vaccins sont très largement mythifiées sous l'influence de ce qu'il faut bien qualifier de propagande, orchestrée par l'industrie pharmaceutique.
La composition des vaccins devrait suffire à rendre la population au moins méfiante à leur égard: mercure et aluminium comptent parmi les adjuvants inclus dans la plupart d'entre eux, alors que ces substances sont connues pour leur extrême toxicité.
Dans le cas du vaccin contre le virus H1N1, la situation est plus grave encore, car de nombreux médecins, parmi lesquels certains sont plus que favorables à la vaccination, estiment que les conditions du développement du vaccin sont purement et simplement inacceptables puisque les laboratoires pharmaceutiques concernés n'ont même pas respecté leurs propres protocoles de développement, rendant l'efficacité comme l'innocuité de l'injection encore plus douteuses que pour les autres vaccinations.
Sont également pointées du doigt dans le cas du H1N1 l'usage d'adjuvants dangereux et l'extrême rapidité du délai de développement du vaccin, ainsi que le bilan coût/avantage très défavorable à la vaccination, compte tenu de la bénignité de la maladie. Même CBS reconnaît aujourd'hui que le nombre de cas d'infection par le virus H1N1 a été largement surestimé (à lire ICI).
Un article recense tous les adjuvants de chaque vaccin développé contre le virus H1N1 par les différents laboratoires, A LIRE D'URGENCE ICI.
L'adjuvant qui fait le plus parler les spécialistes est sans conteste le squalène, tristement célèbre pour ses effets neurotoxiques déclarés chez 25% des soldats américains envoyés en Irak et vaccinés pour l'occasion contre l'anthrax. A cet égard, il y a tout à craindre du futur plan vaccinal contre la grippe A, puisque le vaccin contiendra une dose de squalène largement supérieure à celle reçue par ces soldats.
Lire ICI pour un récapitulatif des effets provoqués par les vaccinaitons reçues par les soldats américains.
La dangerosité du vaccin est d'ailleurs à peine niée par les autorités: les puissants ont à leur disposition une version du vaccin dépourvue de tous les adjuvants toxiques, ainsi que l'expose la version en ligne de Der Spiegel! On se demande vraiment pourquoi le petit peuple n'y a pas droit... A lire ICI, en essayant de ne pas vomir.
Mieux encore, s'agissant de la dangerosité du vaccin contre la grippe A, les autorités américaines ont déjà fait voter par le parlement une loi exonérant les laboratoires de toute responsabilité pour les effets indésirables causés par les injections vaccinales, comme expliqué ICI. Outre que cela est scandaleux, on se demande bien quelle est la raison d'être d'une telle mesure si le vaccin est aussi sûr que les autorités l'affirment.
Outre Atlantique, la dangerosité ressort plus clairement encore de la propagande éhontée faite par ces mêmes autorités américaines pour dénier à l'avance tout lien entre les accidents de santé graves, dont elles préviennent qu'ils vont survenir en masse, et la campagne de vaccination qui commence. A lire ICI et maintenant dans la version en ligne du Daily Telegraph. Cette attitude scandaleuse a même été rapportée dans les médias télévisuels Français, notamment BFM TV s'agissant de la firme Baxter. C'est donc l'Etat français qui garantit à ses fournisseurs l'impunité totale quels que soient les effets secondaires des injections, comme rapporte le site SpreadTheTruth.fr.
De nombreux médecins évoquent aussi l'inutilité du vaccin contre la grippe A en cas de mutation du virus. La situation est d'ailleurs ubuesque puisque la grippe porcine, qualifiée de "gripette" par le Professeur Debré, peu suspect de fronde conspirationniste, n'a guère de chance de muter que pour perdre encore en virulence, selon tous les spécialistes.
Il est bon que les français sachent que leur pays est l'un des tous derniers à obliger légalement ses ressortissants à certaines vaccinations. Seuls les vaccins contre la diphtérie, le tétanos, et la polio sont encore obligatoires. On notera avec profit que le fait de contracter le tétanos n'immunise pas le malade à l'avenir contre cette maladie, et que, par conséquent, le vaccin, basé sur une souche tétanique inactivée, ne peut lui non plus immuniser celui qui le reçoit. Sans commentaires.
S'agissant de la diphtérie et de la polio, ces maladies, au demeurant rarissimes sous nos latitudes, peuvent être rapidement et facilement soignées par l'ingestion de chlorure de magnésium, l'une des substances les moins chères à la vente en pharmacie et en magasins biologiques (de 0,5 à 2 euros les 20 grammes, sachant que les doses thérapeutiques à ingérer sont très faibles).
Comme on pouvait s'y attendre, les épidémies visées par les vaccins se sont pas plus présentes dans les pays sans obligation vaccinale qu'en France. Aux Etats Unis, les seules épidémies de coqueluche connues ont touché des individus vaccinés dans des zones à forte couverture vaccinale, ce qui suggère que la vaccination en est la cause, phénomène contre lequel des médecins avaient mis en garde dès l'invention de la vaccination en raison du caractère aléatoire de la technique d'inactivation des virus vaccinaux. A noter qu'en Finlande, 75% de la population envisage de refuser toute vaccination contre la grippe porcine, comme expliqué ICI.
En attendant une liste plus complète de liens, voici, pour patienter, un dossier extrêmement intéressant pour aider à se faire une opinion sur la question.
A voir, également, ce reportage d'une heure diffusé sur France 5, qui a le mérite de rappeler que la vaccination en général comporte des dangers largement sous estimés ou purement et simplement passés sous silence.
Intéressant aussi, cet article, qui souligne l'extrême négligence dans laquelle sont conduites les études scientifiques consacrées au vaccin contre la grippe A. De plus en plus de médecins évoquent ouvertement leur très grande méfiance vis à vis de la vaccination, là où, il y a quelques années encore, les plus réticents hésitaient à parler. Dans une conférence internationale récente consacrée à la vaccination, cette méfiance s'est exprimée ouvertement, par un grand nombre de médecins. Cliquez ICI pour écouter le témoignage de l'un d'entre eux. Plus récent, cette autre analyse d'un médecin et enfin, la contribution de Russel Blaylock, qui produit une riche analyse de la situation sanitaire et médicale liée au H1N1. A voir également, ce témoignage d'un infirmier qui évoque ses craintes quant aux effets délétères de la vaccination contre le virus H1N1.
Occasionnellement, la presse se fait l'écho des suspicions entourant les effets, notamment neurotoxiques, du vaccin contre la grippe saisonnière, comme dans ce cas, médiatisé outre atlantique. Voir le dernier état de la question ICI.
En Chine, également, on connait les effets délétères du vaccin contre la grippe saisonnière, évoqués dans cet article. On suspecte fortement désormais le vaccin contre cette grippe d'accroitre la susceptibilité à la contamination par le virus de la grippe porcine, comme l'explique cet article.
Enfin, pour ceux qui s'imagineraient encore que les compagnies pharmaceutiques sont des bienfaitrices de l'humanité, cette référence. A noter qu'Arte, peu suspecte de fronde médicale systématique, a diffusé un reportage assassin pour l'industrie pharmaceutique, le mardi 20 octobre 2009, intitulé "Grippe A, un virus qui fait débat".
Cliquez ICI pour une bordée de références sur la grippe et les vaccinations associées.
Cliquez ICI, pour la liste des liens vers les articles publiés sur le site Infowars.com
Sur l'inefficacité des vaccins, une référence intéressante ainsi qu'une série de questions qui dérangent.
Sur l'introduction aux Etats Unis de la version masculine du Gardasil, alors que sa jumelle a déjà fait plusieurs mortes, sans avoir prouvé son efficacité, lire ICI. Merci Merck! La première version du Gardasil est contestée en interne, si l'on peut dire, puisque les critiques les plus récentes ont été emises par le très sérieux Journal of the American Medical Association. Voir aussi cette vidéo. On comprend les hésitations des médecins les plus attentifs, puisque le Gardasil contient un virus cancérigène, ou plus exactement le virus du cancer. Le débat sur l'origine virale du cancer bat d'ailleurs son plein, ainsi que l'explique cet article dans sa seconde partie. Pour résumer, les virus "inactivés" contenus dans plupart des vaccins les plus courants sont suspectés d'être cancérigènes, cet effet pouvant ne se manifester que plusieurs dizaines d'années après l'injection.
Au bout du compte, il y a lieu de se demander si tant d'inconvénients à la vaccination pour si peu d'avantages peuvent être dus au hasard. Pour un ancien officier médical provincial finnois, les vaccins sont une arme au service de politiques eugénistes, ce que d'autres médecins et journalistes, notamment américains, soutiennent depuis plus de 20 ans. Voici la vidéo ou cette femme expose son point de vue.
Enfin, si vous voulez vous faire vacciner en dépit des informations fournies ici, ou si le gouvernement déclare la vaccination contre la grippe porcine obligatoire, faites en sorte de limiter les risques. Il existe des protocoles permettant d'éviter les effets délétères d'une vaccination. Pour un exemple de protcole alimentaire détaillé, cliquez ICI.