mercredi 7 octobre 2009

Réchauffement Climatique: Le Cheval de Troie du Mondialisme

D'abord, dissiper un malentendu: oui, la planète est ravagée par l'activité humaine au mépris du plus élémentaire bon sens. Oui, l'homme scie la branche sur laquelle il est assis, comme aime à le répéter Nicolas Hulot. Il faudrait être fou pour nier la gravité des atteintes durables subies par notre habitat naturel et négliger d'agir pour inverser la tendance.

Toutefois, l'évidence de la catastrophe écologique que nous connaissons, et dont les conséquences les plus tragiques ont à peine commencer de se déployer, a été habilement instrumentalisée au profit d'un projet politique d'état mondial. Là encore, if faut dissiper un malentendu. Une gouvernance mondiale n'est pas en soi une hérésie. Le problème, c'est que le petit aréopage d'hommes qui oeuvre en ce sens a pour objectif la ruine des nations au profit d'une pseudo multiculture, l'extension de la marchandisation à tous les domaines de l'existence, y compris la procréation, l'éducation et la spiritualité, et in fine une drastique réduction de la population mondiale. Dans cette perspective, l'écologie n'est pas une fin mais un moyen de domination, et les mesures prônées au nom de la sauvegarde de notre environnement reposent sur un diagnostic erroné ou mensonger des menaces qui nous guettent. De la fausse écologie, donc, qui plus est au service d'un projet politique ignoble.

Le réchauffement climatique est au coeur de cette supercherie. Il a fait l'objet d'un battage médiatique colossal depuis plus de 10 ans. Certes, ce phénomène météorologique possède une réalité  immédiate indéniable et d'ailleurs physiquement perceptible par tout un chacun. Cependant, le réchauffement est en réalité tellement transitoire qu'à l'échelle des cycles climatiques, il se révèle totalement insignifiant. Il aura duré entre 6 et 10 ans, et sera suivi d'un retour au lent mouvement de refroidissement qui conduit inexorablement la terre vers la prochaine ère glaciaire.

Pour dire les choses sans détour, mettre l'accent sur le réchauffement comme phénomène d'origine humaine qui conduirait la terre à la catastrophe relève de la propagande, car cette hypothèse ne repose sur aucune donnée scientifique solide. Il a longtemps été de bon ton d'affirmer péremptoirement que la communauté scientifique était unanime à constater d'abord le réchauffement climatique, puis à trouver son origine dans les activités humaines génératrices de CO2. Les raisons de ce pseudo unanimisme ne seront pas analysées ici (Sur ce sujet, lire l'article remarquable de Christopher Brooke dans la version en ligne du London Telegraph). Contentons-nous de rappeler que Richard Lindzen, l'un des climatologues les plus réputés au monde, résumait ainsi les choses: "sur la question du réchauffement, le consensus s'est établi avant toute recherche réelle". Dès lors que de vrais travaux ont commencé d'être conduits, cette pseudo unanimité a volé en éclats. Désormais, plus de 31.000 scientifiques font bloc pour dénoncer l'imposture du réchauffement (Voir aussi CE LIEN). Ironiquement, ce nombre se rapproche de celui que les partisans du réchauffement annonçaient comme constituant leurs rangs, alors que la majorité des soi-disant experts favorables au réchauffement étaient essentiellement soit des bureaucrates aux ordres, non des scientifiques, soit n'étaient pas climatologues. Voici l'essentiel des  conclusions de leurs adversaires, de vrais climatologues, ceux là, au terme de vrais travaux et études:

- les relevés de température sur lesquels se basent les partisans du réchauffement sont sujettes à caution quant au protocole utilisé pour les mesures.

- le réchauffement climatique est lié principalement à l'activité solaire, et peu, voire pas du tout à l'activité humaine (ce qui n'implique en rien que l'activité humaine soit sans danger pour la terre, bien au contraire, mais pour d'autres raisons).

- le réchauffement climatique, incontestable, que nous avons ressenti comme citoyens, est une parenthèse de très courte durée dans les cycles climatiques. Actuellement, nous nous dirigeons vers une ère glaciaire, et il y a lieu de prévoir un refroidissement global. Ce refroidissement est déjà en cours et attesté dans plusieurs régions du globe qui quelques années auparavant étaient soumises au réchauffement (V. un exemple ICI).

- la calotte glaciaire, que les médias audiovisuels nous montrent complaisamment en train de fondre, à grand renfort d'images d'ours polaires qui peinent à surnager sur un petit bout de banquise improbable, se reforme globalement plus vite qu'elle ne fond, mais sa configuration générale se modifie considérablement, ce qui n'est jamais mentionné. Récemment, le très influent et médiatique président de GreenPeace a été obligé de reconnaître qu'il ne fond pas plus de calotte glaciaire en été qu'il ne s'en forme en hiver. (Par ailleurs, suggérer qu'un ours polaire puisse se noyer du fait de la fonte des glaces serait drôle si ce n'était pas mal intentionné, puisque cet animal est certainement le mammifère non marin qui nage le mieux. Il peut parcourir plusieurs dizaines de kilomètres à la nage en une seule fois. Il a été repéré à plus de 100 km des côtes).

- la théorie du gaz à effet de serre n'a jamais été validée scientifiquement. Elle n'a pu prospérer au point que nous connaissons qu'au prix d'une véritable manipulation et d'une volonté politique se déployant à un niveau supra étatique, avec la complicité de scientifiques peu scrupuleux.

Claude Allègre, qui s'était distingué par ailleurs pour son incapacité chronique à dire quoi que ce soit de sensé sur la question des OGM, a eu le courage et le mérite d'être un pionnier de la contestation du dogme du réchauffement, et il convient de lui rendre hommage à cet égard. Aujourd'hui, la communauté scientifique évoque plus volontiers un bouleversement climatique, d'ailleurs incontesté, comme pour se prémunir des critiques qui abondent en son sein. Toutefois, les médias de masse reprennent à l'envi le refrain du réchauffement climatique dû aux gaz à effet de serre, avec pour finalité le conditionnement  des esprits à la taxe carbone, qui représente un projet d'escroquerie sans précédent, car d'échelle planétaire et portant sur des sommes d'argent colossales.

Malheureusement, les données qu'il convient de maîtriser pour percevoir les implications de la taxe carbone dépassent largement l'écologie. Une solide culture géopolitique et une bonne compréhension de l'agit-prop de type trotskyste sont également requis. Mais le plus court chemin vers l'élucidation de la raison d'être de ce projet réside encore dans la compréhension des leviers économiques actionnés pour les besoins de la cause et des conséquences  de sa mise en oeuvre pour l'industrie bancaire.

Ainsi, Al Gore, lauréat du prix Nobel de la paix, est le principal actionnaire d'une banque qui percevra une partie importante des bénéfices générés par la taxe carbone, estimée en milliards, comme l'explique cet article. Le film qu'il a parrainé et qui lui a valu cette récompense prestigieuse est un tissu d'inexactitudes, ou plutôt de mensonges, qui ont parfaitement balisé le terrain idéologique pour culpabiliser la population mondiale à un point tel que nous voilà aujourd'hui prêts à payer pour avoir le droit de respirer. On comprend mieux que dans la suite du film qui lui a valu le Nobel de la paix, Al Gore, à court d'arguments scientifiques valides, en appelle à la foi religieuse de ses concitoyens et au devoir moral et spirituel qu'il y a de sauver la terre, comme l'explique le Guardian. Dommage que la taxe carbone soit le seul moyen d'y parvenir selon lui... Il est significatif à cet égard que même Al Gore ait été contraint d'admettre que l'activité humaine ne compte que pour une part faible dans le réchauffement climatique, tout en continuant à oeuvrer activement à l'introduction de la taxe carbonne. Paul Joseph Watson publie à ce sujet un article extrêmement intéressant sur le site Infowars.com.

Toutefois, Al Gore n'est qu'un représentant parmi d'autres de la longue lignée des personnalités politiques et des "people" qui assurent la promotion du nouvel ordre mondial. Ainsi voit-on depuis quelque temps Mikhail Gorbatchev apporter sa pierre à l'édifice mondialiste en l'appelant de ses voeux (A lire ICI) ou encore Angela Merkel exhorter Barack Obama, comme ci celui-ci se montrait réticent, à inscrire les Etats Unis dans un processus d'assimilation de leurs institutions dans un cadre mondialisé (lire sur ce point l'article du Daily Telegraph). Plus significatif encore, l'appel de George Soros à l'établissement d'une monnaie mondiale, lui qui, comme Jacques Attali, voit dans la constitution de super-structures internationales la solution à tous nos maux, à lire sur le site Infowars, qui relève par ailleurs que les riches et puissants sont étrangement  au diapason dans leur engagement prétendument écologiste (article à lire ICI), ce qui n'a rien d'étonnant compte tenu de la manne financière sans précédent représentée par la taxe carbone.

L'inquiétude des journalistes en pointe dans le domaine de l'environnement, ceux qui, contrairement à Nicolas Hulot, ont su diversifier et vérifier leurs sources pour accéder à une vision d'ensemble cohérente de la situation, ont établi que les partisans les plus farouches de la théorie du réchauffement climatique et de la taxe carbone accusent l'homme lui-même, non pas à cause de ce qu'il fait, mais par sa seule présence, d'être à l'origine des plus graves atteintes à l'environnement. Ressurgissent alors volontiers, comme chez le conseiller scientifique d'Obama, des tentations eugénistes assumées, dont les médias dominants ne se font jamais l'écho. Récemment, Hilari Clinton analysait la surpopulation mondiale en des termes condamnant symboliquement à mort les enfants à naître, les accusant de rendre le réchauffement irrécupérable. Dans la perspective du sommet de Copenhague, le martèlement de l'affirmation du lien entre surpopulation (un problème dont on peut discuter au demeurant), et réchauffement du climat (totalement bidon quant à lui), avec en point de mire une réduction drastique de la population mondiale, fait froid dans le dos. Le site Infowars.com publie une contribution intéressante à cet égard. On comprend mieux l'intérêt de discuter sur des bases scientifiques la théorie qui sert de fondement à ce type de politique dans lequel la plupart des dirigeants mondiaux s'engagent bille en tête (Lire ICI).


Une bordée de références seront ajoutées prochainement. Pour patienter, un lien vers l'exposé magistral d'un scientifique de renom, ancien partisan du réchauffement climatique, qui exprime aujourd'hui un avis inverse, ainsi qu'un article publié sur le site de la BBC qui évoque courageusement et objectivement la question de la réalité du réchauffement global. A lire également, cet autre article. Plus récemment encore, le Daily Mail y allait de sa contribution, à lire ICI. Enfin, cet article qui synthétise l'état de la question.

Sur la question plus générale du lien entre les théories sur les changements climatiques et l'édification d'un gouvernement mondial totalitaire, on pourra consulter cette page avec profit, pour les informations écrites comme pour les vidéos.

A intégrer: ICI