mardi 24 septembre 2013

Enquête sur la loi du 3 janvier 1973 - Pierre-Yves Rougeyron interrogé par Pierre Jovanovic

vendredi 20 septembre 2013

Le KGB et le plan de démoralisation de l'Occident

Forum du parti de l'In-nocence

On trouve sur YouTube des entretiens et exposés en anglais de l'ancien agent du KGB, le remarquable Yuri Bezmenov, qui déserta en 1985 aux Etats-Unis (année de cet entretien). L'homme y expose les principes de ce qu'il nomme les "techniques de démoralisation des nations" employées par le KGB de l'époque (années 70). Le plan de démoralisation de l'Occident était conçu pour s'étaler sur trois générations. Ces entretiens et ces conférences sont fascinants.

En voici trois où l'on entend, presque à la lettre, les mots du père de Laurent Mucchielli. Le fils n'est nullement démarqué du père. Les leçons du père sont appliquées par le fils. Celui-là les applique dans un bord politique autre que celui du père, certes, mais sans en modifier la nature. Le moule opératoire, la méthodologie, sont les mêmes. Le fils est continuateur du père. Les méthodes du père dont le fils prolonge l'usage furent élaborées dans le milieu du siècle dernier; elles furent communes aux puissances rivales de part et d'autre du Rideau de Fer.

Les Amis du Désastre sont des héritiers d'ingénieurs en manipulation qui créèrent leurs produits phares au siècle dernier. Ils seront balayés par le siècle présent. Leurs méthodes sont sans avenir véritable. Le vingtième siècle ne peut pas durer éternellement. Et il est probable que l'Internet dans notre siècle jouera, et joue, un rôle dans ce coup de balai. Mais toute arme a feu possède un effet recul, tout mécanisme d'entraînement un poids régulateur qui est source d'entropie : Internet, et la communication des citoyens en réseau qu'il permet, est aussi un lieu d'épuisement de l'énergie politique et des forces du changement, lieu de dissipation et d'évacuation (comme sont évacuées les eaux de surface turbulentes vers des puisards) de ces forces. Ce mal de la dissipation (revers de toute bénéfique dissémination des idées) et de l'épuisement est la rançon politique versée à la forme réticulaire de circulation des idées, dont le prix devrait apparaître plus clairement dans les prochaines années et dont les acteurs du changement que nous voulons être se devraient d'être les premiers conscients.











jeudi 19 septembre 2013

Projet Taubira : le RSA et les aides emploi/logement automatiques pour les délinquants

L’encre n’est pas encore sèche que déjà les critiques pleuvent sur le projet de réforme pénale qui sera bientôt examiné par le Parlement. Le Point.fr s’est procuré une copie du texte et lève le voile sur ces dispositions qui risquent de faire controverse.

L’article 12 (cliquez ici pour le consulter) est sans doute celui qui prête le plus à polémique. Si la loi est votée, les collectivités devront « garantir l’accès effectif des personnes condamnées aux droits sociaux ». En clair, des délinquants passés par la case justice pourraient se voir octroyer automatiquement par le conseil général le RSA, tout comme des aides à l’emploi ou au logement.

Tour de passe-passe
Autre dispositif qui pose question : la suppression de la révision automatique du sursis simple prévue à l’article 6. Ce mécanisme aurait pour effet de faire chuter artificiellement le taux de récidive. Comment ? Quand un jeune délinquant se fait condamner pour la première fois par la justice, il écope d’une peine avec sursis simple. Si, pour une nouvelle infraction une condamnation est prononcée, le sursis tombe mécaniquement, ce qui fait alors du délinquant un récidiviste.

En supprimant l’automaticité du couperet, le projet de loi Taubira aura pour effet de vider les prisons, 80 % des récidives correspondant à des révocations de sursis simple. Certains magistrats dénoncent un tour de passe-passe statistique pour tenir l’objectif de la garde des Sceaux qui a fait de la lutte contre la récidive son cheval de bataille, jusqu’à en faire une loi.

JAP tout puissant
Le grand gagnant de la réforme est le juge de l’application des peines. Le JAP, comme on l’appelle, devient le juge le plus puissant de France. C’est désormais lui qui, au bout de la chaîne judiciaire, décide seul, dans le secret de son cabinet et uniquement sur dossier, du devenir du délinquant. Une situation paradoxale alors que, depuis l’affaire Outreau, la collégialité est présentée comme le rempart à l’erreur judiciaire.

Chose étonnante, s’il devait être voté en l’état au Parlement, le projet de loi tant défendu par Christiane Taubira risquerait par la suite d’être retoqué pour anti-constitutionnalité. L’article 12 ouvre en effet des droits pour une catégorie particulière de personnes, ce qui est contraire à la Constitution.

lepoint.fr
19 septembre 2013

samedi 6 juillet 2013

Alain Soral: Video des Mois de Mai-Juin 2013 (Entretien)

Partie 1 :

Le con du mois : un con de l’année ? ; retour de bâton pour Erdogan ? ; Edward Snowden ; l’affaire Méric ; l’antifascisme de 1945 à nos jours.

Partie 2 :

La guerre civile comme stratégie d’État ? ; représentants des Français... vraiment ? ; les mariés (gays) en Israël ; à côté du mariage pour tous, le réalité économique ; les folles du système ; suicide de Dominique Venner.

Partie 3 :

Hollandisme révolutionnaire : good-bye Todd ! ; émeutes au Trocadéro ; émeutes éthniques... en Suède ? ; Woolwich : un Merah à l’anglaise ? ; Fabius le va-t-en-guerre ; la haute trahison n’est plus un délit.

Partie 4 :

Grèce : fin de la télé publique ; élections à pièges ; l’impossible réparation ; Jean Robin chez Taddeï ; qui a eu la peau du rabbin Bernheim ? ; le « Mur des cons ».

Partie 5 :

Un mot sur le festival de Cannes ; le grand marché transatlantique (pas pour tout le monde) ; Charlie Hebdo fait condamner Vincent Reynouard ; soutien à Bruno Boulefkhad ; la LICRA attaque Kontre Kulture en justice ; les antisémites du mois : Frédéric II, George Orwell, David Ben Gourion, Georges Méliès, les Beatles, Horst Tappert, Georges Simenon ; l’antisémite malgré lui : Barack Obama ; le philosémite surprise du mois !